• Chapitre 5

    Salut salut !

    Comment ça va ? Bon je sais un mois c'est long mais le plaisir n'en est que meilleur !

    Attention, la température monte d'un cran dans la fin du chapitre alors jeunes lecteurs, survolez votre lecture !

    Sur ce, bonne lecture, reviews, et si vous aimez, partagez !


    C'était le guerrier le plus fort, le plus courageux, le plus féroce de toute l'île de Beurk. Il était sans aucun doute le viking le plus brave qui ait jamais vécu sur Terre ; rien ne lui faisait peur, pas même la mort… et encore moins les dragons qui assaillaient Beurk à répétitions depuis des décennies. Lors des batailles, il se trouvait toujours en première ligne et fonçait dans le tas tête baissée sans se soucier de ce qui pouvait arriver. Heureusement pour lui, il n'y avait pas de femme chez lui à l'attendre, il avait toujours été assez solitaire. Ça ne l'empêchait cependant pas d'être l'un des bras droit de Stoïck la Brute, le chef de notre village et mon mari. Erik avait tout intérêt à être ami avec le chef, en état de beau-frère de ce dernier.

    Le jour où il avait disparu avait été un traumatisme. C'était un raid comme les autres sur Beurk, la nuit, des dragons qui envahissaient l'île pour voler de la nourriture, quoi de plus normal ? Mais ce soir-là, je n'étais pas de sortie, je venais d'apprendre que j'étais enceinte et Stoïck avait décrété que je ne devais plus participer aux raids quels qu'ils soient : Repos. Et tout ça pour mon plus grand bonheur. Erik avait une idée qui lui trottait dans la tête depuis déjà un petit moment : il voulait abattre un furie nocturne. Tout le monde l'en avait pourtant dissuadé, moi la première, mais il ne voulait pas entendre raison. Il disait que c'était pour sa gloire personnelle, qu'il en avait besoin et lorsqu'on lui disait que c'était trop dangereux, il se défendait en déclarant que les furies nocturnes étaient des dragons comme les autres. Rien ni personne n'aurait pu le faire changer d'avis mais malgré ça, je me sentais coupable. J'avais laissé mon petit frère dehors sans protection, mon instinct de grande sœur protectrice prenait toujours le dessus lorsqu'il s'agissait d'Erik. Toujours, sauf ce jour-là, car ce jour-là j'étais trop occupée à me réjouir de la nouvelle qui allait changer ma vie. J'étais tellement surexcitée à l'idée d'être mère que j'avais oublié tout le reste, j'avais oublié Erik.

    « Les combats faisaient rage dehors », m'avait dit Stoïck, « Je m'occupais de régler l'affaire d'un gronk ou deux et là… », il s'était interrompu, « J'ai vu Erik se faire attraper violemment par un furie nocturne, il l'a emmené Valka… ». Le sol avait semblé s'écrouler sous mes pieds, j'avais perdu mon seul et unique frère et tout ça parce que je n'étais pas parvenue à le convaincre de ne pas attaquer ce dragon. Je n'avais pas su le ramener à la raison, je n'avais pas su le protéger. Tout était de ma faute.

    « Je ne lui avais même pas dit que j'étais enceinte » fut la seule phrase que je parvins à articuler.

    Et il se tenait là, devant moi, en chair et en os et bien vivant, entouré de furies nocturnes…

    – Valka ! Mais enfin, qu'est-ce que tu fais là ?

    – Ce serait plutôt à moi de te poser la question… je baissai la tête, tu étais mort Erik, tout le monde te croyait mort…

    Il fit un pas dans ma direction.

    – Je suis là maintenant… dit-il tout en avançant lentement vers moi. Je suis là…

    Il me prit dans ses bras et je le serrai de toutes mes forces. Je m'accrochais à lui comme si sa vie en dépendait, je voulais le protéger, j'ai toujours voulu le protéger… Les premiers sanglots me submergèrent, je me laissai m'abandonner aux émotions soudaines qui m'envahissaient, dans ses bras. La tristesse, la joie, la colère, toutes ces émotions s'apparentaient à nos retrouvailles et, bien que totalement opposées, c'était exactement ce que je ressentais. La tristesse de ne pas l'avoir retrouvé plus tôt, la joie de le retrouver et la colère encore bien ancrée en moi qui me rappelait que c'était à cause de moi s'il avait disparu.

    – Tu m'as tellement manqué… soufflai-je.

    – Toi aussi… me dit-il au creux de l'oreille.

    Je me retournai vers Gueulfor qui vint tout de suite faire une poignée de main amicale à mon frère.

    – Et bah ! Ça fait un bail Erik ! On te croyait tous mort ! Mais qu'est-ce que tu fiches ici ?

    – Wow wow wow ! Temps mort ! On a rien pigé de ce qui se passait là ! cria Kranedur.

    – Ouai, c'est qui ce type ? renchérit Kognedur.

    – Erik est mon frère, dis-je.

    Ils firent de grands yeux étonnés.

    – Mais on savait pas que vous aviez un frère ! s'indigna Rustik.

    – Comment ça se fait que personne n'ait jamais parlé de lui ? demanda Varek.

    – S'il "était" mort, ça parait évident qu'on ne vous ait jamais parlé de lui, lâcha Eret.

    – Ah bah oui… articula Kranedur.

    – Oh tu es si intelligent Eret ! s'exclama Kognedur en s'agrippant à lui.

    Celui-ci déglutit difficilement sans parvenir à se dégager de son étreinte.

    – Suivez-moi, déclara Erik.

    Nous le suivîmes à travers la forêt, suivis de toute sa clique de furies nocturnes. Ceux-ci paraissaient extrêmement liés à leur maître et en l'occurrence ici, Erik. Je n'arrivai pas à le croire : mon frère, ce guerrier sans peur et tueur de dragons, un dragonnier. Je m'interrogeais surtout sur la façon dont il avait changé et comment il était parvenu à les apprivoiser. Nous arrivâmes finalement dans un endroit reculé de la forêt, près d'un cours d'eau, sa hutte y trônait.

    – Vous voilà dans mon humble chez moi ! s'exprima-t-il.

    Il nous invita ensuite à nous approcher de la rivière pour nous y rafraîchir. Il est vrai que nous ne nous étions pas arrêtés une seule fois durant notre escapade. Une fois désaltérés, nous sentions tous d'un coup notre ventre crier famine ; manger n'avait pas été notre préoccupation première non plus.

    – Vous avez l'air d'avoir faim. Ça vous dirait une partie de pêche ? dit-il en nous gratifiant d'un large sourire.

    – Ça peut être amusant… répliqua Eret sur un ton narquois.

    – Alors que la partie commence ! lança Rustik.

    La compétition se fit de plus en plus agressive. Deux équipes s'étaient formées : la première avec Eret, Kognedur, Kranedur et Geulfor contre Rustik, Varek, Erik et moi. Nous attrapions tous les poissons qui passaient dans la petite chute d'eau du courant. Le match était serré : à chaque fois qu'une équipe prenait de l'avance sur l'autre, celle-ci rattrapait vite fait son retard et ainsi de suite. Nous finîmes au total par attraper une dizaine de poissons chacune.

    L'après-midi se termina ainsi, en grillant la friture fraîchement pêchée plus tôt. Nous nous assîmes autour d'un grand feu pour nous y réchauffer. Nous commençâmes à manger en dégustant les poissons grillés. Lorsqu'Erik s'assit avec nous, je ne pus m'empêcher de lui poser la question que je mourrais d'envie de lui poser depuis que je l'avais revu :

    – Erik, je me demandais… comment as-tu fais pour survivre, toi qui détestais autant les dragons ? m'enquis-je.

    – Très bonne question Val' ! Et bien, je suppose que vous vous souvenez de cette nuit où j'ai disparu ?

    – Comme si c'était hier, répondis-je tristement.

    – Bien. Vous savez tous que j'étais à la recherche de ce furie nocturne depuis des semaines… Et ce soir-là, il s'est présenté à moi comme un cadeau venu des dieux. Je n'ai pas pu patienter plus longtemps, j'ai foncé tête baissée comme tout bon viking qui se respecte. J'ai alors sorti ma plus belle épée et l'ai pointé droit devant moi et, une masse dans l'autre main, je l'ai lancé droit devant moi mais à mon grand désespoir (il nous regarda chacun notre tour pour préserver le suspens puis il se leva d'un coup en levant les bras au ciel) j'ai manqué mon coup ! s'écria-t-il. Et c'est là que le reptile est arrivé à toute vitesse sur moi, il marqua une pause, il m'a prit les épaules et je me suis envolé avec lui ! J'ai bien tenté de me débattre mais impossible de me défaire de son emprise ! En plus, mes armes étaient restées sur Beurk alors quand il me déposa sur son île, impossible de me défendre ! Heureusement, j'avais encore quelques armes en moi : ma force et mon courage. Donc je réussis quand même à les éloigner de moi. J'ai passé mes nuits et mes journées sans rien manger, de peur de tomber sur l'un deux. Jusqu'à ce qu'un jour, un petit furie m'apporte de la nourriture. Et ce, tous les jours ! J'ai fini par me lier d'amitié avec ce bébé aux yeux bleus, c'est elle là-bas, c'est Lifa. Il sourit tendrement. Elle m'a sauvé la vie. Je compris donc que ces bêtes n'étaient pas ce que l'on croyait. J'ai finis par approcher la famille de la petite Lifa et ils étaient tous aussi dociles qu'elle. Mon quotidien avait été rythmé par toutes les découvertes que je faisais sur eux tous les jours. J'avais déjà remarqué le fait qu'ils ne côtoyaient pas les autres dragons, ce qui était étrange, enfin bon, c'est comme ça, soupira-t-il. Et puis un jour, une furie nocturne pondit un œuf, elle restait autour nuit et jour et l'éclosion n'allait pas tarder. (Il prit soudain un regard sombre) Mais ce jour-là, nous nous sommes faits attaqués. Je n'avais jamais vu de pareils gens, ils sont descendus sur l'île et ont tout détruit sur leur passage… Et ils ont tué des dizaines et des dizaines de furies nocturnes, ils ont prit les œufs et les ont détruits sauf l'œuf dont je vous ai parlé toute à l'heure, lorsque le bébé furie nocturne en est sorti, ils l'ont attrapé et l'ont emmené avec eux. Je m'en souviendrai toute ma vie, c'était le seul furie nocturne à avoir ces yeux d'un vert intense comme je n'en avais jamais vu. C'est après cette attaque, que nous avons finalement réussi à repousser, que j'ai pris ma décision. Je me suis juré de protéger cet endroit coûte que coûte et de ne plus jamais laisser faire ça.

    L'histoire d'Erik était pénétrante, j'assemblais enfin les pièces du puzzle. Mon frère n'avait pas tant changé que ça en fin de compte, il avait préservé sa loyauté et son honneur.

    Je me rendis compte subitement que je ne lui avais même pas parlé d'Harold alors que c'était la raison principale de notre venue ! Comment avais-je pu l'oublier ne serait-ce qu'une seule seconde ? Je me tournai vers Erik.

    – Oh comme vous vous entendriez si bien mon fils et toi ! lançai-je.

    – Toi, un fils ? sourit-il, ému.

    – Il s'appelle Harold et il a un furie nocturne ! m'exclamai-je.

    – Harold…

    Il avait l'air troublé.

    – Erik, ça va ?


    Nous étions toujours blottis l'un contre l'autre. Les bras forts d'Harold m'entouraient de leur chaleur. J'étais avec lui et tout allait bien. La confession qu'il venait de me faire m'avait surprise, je ne pensais pas qu'il vivait aussi mal la situation que moi. Et moi qui croyais qu'il était passé à autre chose… J'avais tout faux : il s'inquiétait terriblement pour moi et se sentait inutile… Alors que c'était tout le contraire, j'avais besoin de lui mais je ne le lui avais tout simplement pas montré. Il resserra son étreinte.

    – Ça va ? m'interrogea-t-il, inquiet.

    – Oui, ne t'inquiète pas, je vais bien, lui souris-je.

    Je passais mes bras autour de son cou et l'embrassai en-dessous du menton. Je me tournai ensuite et me positionnai face à lui en passant mes bras derrière sa nuque.

    – Alors comme ça tu voudrais "réessayer" ? lui susurrai-je d'une voix taquine.

    Je rapprochai mon nez du sien et le lui frottai en fermant les yeux. Il eut un sourire en coin et me considéra avec amusement.

    – Astrid… dit-il dans un souffle, pas ici… pas maintenant… continua-t-il de murmurer tout en m'attirant vers lui. Nous sommes prisonniers.

    – Mon prisonnier… lui chuchotai-je à l'oreille.

    Je me penchai pour l'embrasser mais il me devança et m'attira tout contre lui en prenant le contrôle de mes lèvres puis de ma bouche. Nos langues rentrèrent en contact et un électrochoc me parcourut le corps jusque dans mon bas-ventre. Nous reprîmes notre respiration succinctement et je lui souris en entrouvrant les lèvres avec envie, pendant que lui me dévorait du regard. La chaleur monta d'un cran et j'entrepris de lui retirer son haut, en commençant par son armure puis je posai mes mains sur son torse nu si bien dessiné. Il m'enleva mes épaulettes en métal et je défis ma capuche si lourdement chaude. Il m'attira à lui et me plaqua au sol, sur la paille présente dans la cavité. Il se positionna au-dessus de moi et me retira mon haut, je me laissai faire, il le faisait si bien… Il se pencha alors sur mon bas-ventre et commença à embrasser toutes les petites parcelles de ma peau lentement, il remonta jusqu'à mon nombril, puis entre mes côtes pour arriver à ma poitrine qu'il asséna de baisers tout doucement. Il revint vers mon cou pour parvenir jusqu'à ma bouche et je plaquai mes lèvres contre les siennes en le goûtant de toute mon âme. Le désir se faisait de plus en plus fort mais nous fûmes surpris par des voix qui se rapprochaient. Nous nous lançâmes un regard entendu et je renfilai mon haut à la vitesse de la lumière tout en raccrochant mes épaulettes à pointes là où elles devaient être. Harold se rhabilla tout aussi vite, prêt à riposter en cas de besoin. Il sortit son épée de feu. Et là, des hommes en armures se postèrent devant nous avec un air indescriptible qui ne laissait rien paraître. Ils s'approchèrent de la roche et décelèrent le levier qui faisait fonctionner le mécanisme pour lever les barreaux. Nous fîmes un pas dehors, nous tenant la main Harold et moi et lorsque nous la serrâmes, nous tentâmes de nous enfuir pour retrouver nos dragons. Bien évidemment, cette petite ruse ne fonctionna pas et les hommes en armures nous rattrapèrent aussitôt et nous attachèrent les mains dans le dos avec de la corde. Ils nous mirent face à eux.

    – On ne voulait pas en arriver là, vous savez, dit l'un deux.

    – Vous nous "sauvez" de cette cage pour nous faire prisonniers encore une fois, vous appelez ça comment vous ? grondai-je.

    – Du calme, ce n'était en aucun cas notre intention. Nous avons eu pour ordres de venir vous chercher sur cette île et de vous emmener en bateau.

    – De quels ordres vous parlez ? interrogea Harold avec méfiance.

    – Ça, ça ne regarde que nous, répondit froidement un autre.

    Ils nous conduisirent vers leur bateau accosté à l'Est de l'île. Nous marchâmes longuement sans parler et je ne pus m'empêcher de penser à notre petit plaisir interrompu par ces hommes à la cuirasse en métal fortifié et aux casques des plus étranges. J'étais frustrée. Non seulement ils nous emmenaient Thor sait pour où mais en plus, ils m'avaient coupé dans mon élan et je les haïssais encore plus pour ça. J'avançai, la mine boudeuse et je sentis Harold se mettre à mon niveau en m'observant, l'air inquiet. Je l'interrompis avant qu'il ne me questionne :

    – Je t'arrête tout de suite, inutile de me poser la question, ça ne va pas.

    Il sourit bêtement.

    – T'inquiètes on remettra ça, par contre je m'inquiète pour les dragons. Je les sens pas en sécurité sur cette île avec ce Erik Vemund qui s'est proclamé maître de l'île des furies nocturnes ! s'insurgea-t-il.

    – Il a dit "gardien", le taquinai-je.

    La tête du groupe stoppa la marche ; nous étions arrivés.

    – Montez ! cria-t-il.

    – Mais pourquoi vous faites tout ça ? demanda Harold.

    – Eh bien, vous poserez la question au Maître.


  • Commentaires

    1
    AngelsFriendsStyle
    Mercredi 18 Mars 2015 à 16:11
    Fabulisimeux ! *^* J'ai trop aimez ce chapitre car : Y'a de la putain de révélation ! 8D Erik c'est le frère de Valka ! Ho mon dieu qui l'aurait cru ?! *^* De plus: Ça fais un peu comme elle il sest fait enlever par des dragons ! 8D xD Et j'ai trouver leur histoire émouvante ! *^* il ne savait même pas qu'il avait un neveu ! et le pire ce qu'il la déjà rencontrer mais qu'il la considérer comme un ennemie ! XD Par contre je ne sais pas comment il va réagir ! °^° Car quant Valka lui a parler d'Harold il à juste fait "Harold..." Sois c'est très très bon ou très très mauvais °u° Car il va sois mal réagir ou alors il va foncer pour les libérer ! °v° Espérons qu'il va les libéré ! x) Et pour le moment d'Astrid et Harold... Ho god... *-* Pourquoi a t'il fallu que ces garde arrive ? Il était tellement bien partit ! *^* Et puis Astrid qui est frustré de ne pas avoir pût continuer ! XD Ça m'a tuer ! X'D Et Harold en mode cool c'est pas grave on fera ça une autre fois ! XD Maus c'est dommage ça devenu croustillant *w* x) Sur ce j'ai hâte à la suite ça normalement ça va être les retrouvailles de tout le monde ! 8D
      • Rafxsulfuslovestory Profil de Rafxsulfuslovestory
        Mercredi 18 Mars 2015 à 22:08
        Merci beaucoup !!! *WWW* Et oui ! 8D Bien trouvé n'est-ce pas ? ;) Et oui on verra ça dans le prochain chapitre ! Oui je voulais vous faire voir une sorte d'avant goût car la scène de sexe à proprement parler arrivera plus tard ! Haha tu verras ça !! ;)
    2
    silencia
    Vendredi 20 Mars 2015 à 16:40
    salut as tu des info sur la nouvelle serie dragon race to the edge
      • Rafxsulfuslovestory Profil de Rafxsulfuslovestory
        Mercredi 25 Mars 2015 à 11:42
        Non je suis désolée je cherche mais je n'ai pas plus d'infos que ça :/ je vais essayer de faire un article pour vous expliquez ce que je sais ;)
    3
    stormfly
    Vendredi 20 Mars 2015 à 20:31
    salut j'adore ta fanfiction Est-ce que tu va poster l'aventure dragon dawn of the dragon race sur ton site
      • Rafxsulfuslovestory Profil de Rafxsulfuslovestory
        Mercredi 25 Mars 2015 à 11:43
        Merci beaucoup ! *^* si je trouve un lien correct je vais le mettre ;)
    4
    florix
    Samedi 21 Mars 2015 à 18:37
    je trouve ta fanfic super continue quelle est ton personnage préférée et ton dragon préférée
      • Rafxsulfuslovestory Profil de Rafxsulfuslovestory
        Mercredi 25 Mars 2015 à 11:45
        Merci beaucoup ! *w* Hé bien mon personnage préféré est Harold et mon dragon préféré est Krokmou ;)
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